Je ne le dirai jamais assez, l’art-thérapie sauve des vies !
Ces deux vidéos, certes un peu anciennes, sont celles que je cite quand il est question de poser les bases de l’art-thérapie. Je suppose que, depuis, il doit y avoir tout un tas de vidéos qui abordent ce sujet et donnent des pistes/réflexions intéressantes. En ce qui me concerne cette pratique est innée et je l’ai toujours utilisée, tout d’abord de manière inconsciente, puis en pleine conscience. Libre à vous d’explorer davantage ce filon, cette magie et alliée précieuse dans la guérison des plaies de l’âme.
De ma propre expérience (mais je suis bien loin d’être le seul), cette violence aberrante est bien réelle et cause énormément de souffrance chez des patients déjà fragilisés. CQFD, l’expérience des faux patients est la preuve indéniable de cette machinerie psycho-médicale, flippante à souhait.
A défaut de cela, l’humanité ne sera jamais Souveraine et la Bête achèvera de l’engloutir toute entière.
Quelques mots sur Mozart : je regrette qu’il n’ait pas eu l’occasion d’entamer véritablement son éveil et de se transcender. Il avait déjà manifesté dans sa rébellion aux loges une nature à placer son Kirlian sur le trône de sa psyché. Qu’aurait-il créé d’encore plus sublime si seulement il avait pu aller au bout de son processus de reconnexion interne ? J’aurai voulu écouter la symphonie d’un Mozart transcendé. Quel dommage…
Par contre je reste sur mes positions en ce qui concerne l’aspect « possession et entités extérieures » (voir l’article « démons et possession »). Ce ne sont pas des démons mais des parties denses de la psyché éclatée. Pourquoi admettre encore cette hypothèse de possession démoniaque alors que le TDI se suffit à lui-même pour expliquer tous ces phénomènes ? Si vous prenez une statue et que vous la fracassez sur le sol, elle va se fractionner en plusieurs morceaux, tête, buste, et bassin, au minimum (les premiers points de fragilité).
Quelle personnalité peut émerger d’une conscience réduite à l’esprit ? Un Kirlian.
Quelle personnalité naît d’un état de conscience qui ne perçoit que l’amour ? Une Evy.
Et qui se retrouve à tourner en boucle sur ses appétences sexuelles qui sont l’unique réalité de son univers ? Un Ouranos.
Etc…
C’est juste logique et je pense qu’il serait bon de laisser tomber une fois pour toute cette notion de possession par des démons, car sa seule véritable résultante est d’effrayer profondément l’âme en titillant ses peurs refoulées. La peur tue l’esprit, c’est bien vrai, et déforme la réalité par le soulèvement d’un émotionnel terrifié qui part en roue libre. Quand la raison revient et que l’on peut de nouveau objectiver en toute lucidité, la notion de démon, telle qu’entendue majoritairement, perd en pertinence.
En revanche, je suis d’accord pour dire qu’un multiple qui fait le choix à son éveil d’embrasser le pire de lui et de le mettre sur le trône est en effet un démon symbolique, car l’animalité domine et qu’il incarne pleinement son Mad King. Il s’agit pourtant toujours d’un humain, certes qui a choisi de s’épanouir dans le mal, mal qui n’est autre que la part sombre de lui-même et non une entité extérieure. Ce qui différencie l’humain des Anges et des Démons, c’est d’être un subtil mélange des deux, un carrefour où Ombre et Lumière se rencontrent. Après, chacun fait ses choix, nous sommes descendu ici bas pour une seule mission en définitive, celle de définir qui nous sommes de toute Éternité.
Merci à Monsieur Lebreton pour cet excellent travail !